Ici, plus
loin, bien loin, au bout du monde ou tout près…. L’apôtre attend toujours
le signal et dis à l’avance : me voici.
Faire
connaître Jésus, lui qui est notre tout.
Mettons
Jésus dans notre regard et que le nôtre cherche toujours des désirs du
sien. Nous recueillerons une grâce d’union plus grande, de calme au milieu
de tout.
La seule
arme qu’emploie notre seigneur, c’est l’écriture sainte, la parole qui
vient de Dieu, qui émane du Saint-Esprit.
Soyons
toujours prêtes à payer les frais du bonheur des autres.
Un acte
de bonté, de confiance, conquiert les bonnes volontés.
Nous
sommes sous le manteau de la Sainte Vierge Marie d’une manière évidente,
nous sommes dans ses bras.
L’amabilité
doit être comme un parfum qui s’échappe de vos lèvres.
Le calme
se tient aux pieds de Dieu et le consulte avant d’agir.
L’obéissance
et la cause et la première source de votre bonheur.
Contemplons
le maître ; et écoutons sa parole ; mettons ses usages usage en notre cœur
et notre extérieur.
Une vraie
missionnaire et toujours prête à partir.
La vie
d’oraison, c’est le chemin le plus court, le plus sur, le plus consolant
pour aller à Dieu.
Aucune de
nous n’a à faire « son œuvre » mais l’oeuvre du Père céleste. nous devons
toutes ensemble faire même œuvre.
Dans la
vie d’une missionnaire, tout appartient à Dieu et aux âmes.
Tout par
amour tout pour Jésus.
Dieu soit
à jamais béni.
Soyons
heureuses, chacune, de rompre tous les jours, près du cœur de Jésus, le
pain de la volonté de son Père céleste.
Qui voit
tout avec l’œil simple de l’Évangile interprète tout au mieux.
L’amour
du prochain est une seconde forme de l’amour de Dieu.
Quand
vous dites « credo » vous donnez à dieu la réponse à tout ce qu’il vous a
donné et à tout ce qu’il vous demande.
Aimer
Dieu ! quel mystère ! l’aimer de tout notre cœur !
Courage,
paix, et l’humilité, mes chères filles, et vive Jésus !
Si vous
voulez avoir une influence sur les âmes, c’est par le calme que vous
l’aurez .
Le cœur
de notre vie religieuse c’est l’esprit de famille.
Prenons
l’habitude de marcher, d’agir, de parler, de faire notre devoir en
regardant Jésus qui demeure en nous.
Avoir ce
qu’il faut, n’avoir que ce qu’il faut, c’est-à-dire ce qui est mis à notre
usage, rien de plus.
Dieu
attend que l’âme soit en paix pour y venir, y demeurer, y reposer.
Ne jamais
perdre pied, rester calme, quoi qu’il arrive !
Il faut
reproduire le saint évangile en vous.
Quelles
que soient les conditions de vie apostolique, savons-nous avancer ?
supporter ? produire, souffrir pour l’amour des âmes.